La vaisselle antique en verre précoce dans le Sud-Ouest de la Gaule : état de la recherche


-- Download La vaisselle antique en verre précoce dans le Sud-Ouest de la Gaule : état de la recherche as PDF --


La richesse et la diversité du mobilier en verre dans le Sud-Ouest de la Gaule à la fin de l’âge du Fer et au début de l’époque romaine ont longtemps été mésestimées. Si beaucoup d’individus précoces découverts dans la région sont issus de fouilles anciennes aux contextes imprécis, il n’en demeure pas moins que le recensement et l’étude de ces verres peu courants permettent de compléter les premiers jalons de diffusion de ce mobilier en Gaule.

Sera abordée dans cette notice la question des premières générations de verres creux diffusées sur l’actuelle région d’Occitanie, et plus généralement dans le Sud-Ouest, avant le premier tiers du Ier s. apr. J.-C.

Les verres moulés sur noyau

Les premiers vases en verre ont été utilisés comme contenants à huiles parfumées (Frère et al. 2012, p. 48). De petite dimension, ces pièces sont produites en Orient du IIe mil. av. J.-C. au Ier s. av. J.-C., en particulier sur l’île de Rhodes (mer Égée). Elles sont obtenues grâce au procédé de moulage sur noyau, qui consiste à enrouler un fil de verre autour d’un noyau de sable et d’argile afin de former le corps du vase. Une fois la pièce façonnée, celle-ci est décorée de fils de verre colorés appliqués à chaud puis peignés pour obtenir des motifs de festons ou de zigzags (Foy 2010, p. 63). Des moyens de préhension et un pied peuvent ensuite être ajoutés, avant que le noyau soit retiré. Les profils ainsi réalisés sont directement inspirés des vases à parfum hellénistiques en céramique ; sont ainsi fabriqués des amphorisques, des alabastres et des aryballes. Souvent très fragmentés, ces vases sont aisément identifiables grâce à leur paroi épaisse dont la surface interne est irrégulière, rugueuse et comporte de multiples traces d’arrachement. De petits résidus d’argile, restes du noyau, sont parfois pris dans la masse.

Fig. 1 : Diffusion des vases en verre moulé sur noyau en Gaule méridionale
Copyright M. Brochot d’après Feugère 1989 et Foy et al. 2014. Fonds de carte IGN licence ouverte.

Bien représentés dans la péninsule Ibérique, ces vases restent rares en Gaule (Feugère 1989). Seule une trentaine de sites français ont livré de telles pièces (fig. 1). Dans le Sud-Ouest, l’exemplaire le plus célèbre est sans doute l’amphorisque de L’Hospitalet-du-Larzac (Aveyron). Daté du Ier s. av. J.-C., il a été découvert dans une riche sépulture d’époque claudienne de la nécropole de La Vayssière. Presque intégralement conservé, le récipient a été déposé sur un bûcher funéraire, ce qui explique ses importantes déformations (fig. 2). D’autres éléments de panse, plus modestes, ont été découverts sur le macellum de Saint-Bertrand-de-Comminges, sur le site de La Planho à Vieille-Toulouse (Haute-Garonne), au Stadium à Agen (Lot-et-Garonne) ainsi qu’à La Lède du Gurp à Grayan-et-l’Hôpital (Gironde), (Feugère 1989, p. 53 ; Foy et al. 2014, p. 144). Ces éléments, même fragmentaires, attestent la présence d’une élite locale capable d’acquérir des biens d’exception. Retrouvés très sporadiquement en Gaule, ils n’ont sans doute pas fait l’objet d’un véritable commerce organisé, mais ont pu être offerts ou achetés à titre privé (Feugère 1989, p. 54 ; Foy et al. 2014, p. 144 ; Marty, Cornardeau 2017, p. 300).

Fig. 2 : Amphorisque découvert sur le site funéraire de La Vayssière (L’Hospitalet-du-Larzac, Aveyron)
Copyright M. Brochot

Les premiers verres moulés

Les premiers contenants en verre moulé-pressé apparaissent au Proche-Orient dès le VIIIe s. av. J.-C. (Foy, Nenna 2001, p. 74). Plusieurs générations de vases vont se succéder du VIIe s. au Ier s. av. J.-C. Il s’agit au départ d’une vaisselle rarissime et luxueuse, en verre monochrome ou polychrome, inspirée des formes métalliques. La production de ces verres augmente et se diversifie petit à petit, jusqu’à être importée en Gaule à partir du IIe s. av. J.-C. (Feugère 1992, p. 158 ; Fontaine 2004, p. 4).

En Haute-Garonne, 19 fragments de panses polychromes ont été découverts sur le site de la ZAC Niel à Toulouse (Demierre 2015, p. 172-173 ; Marty, Cornardeau 2017, p. 300). Datés de la fin du IIe s. av. J.-C. ces éléments correspondent à des vases hellénistiques rarement observés hors du littoral de la Méditerranée occidentale : y sont représentés deux verres mosaïqués à motifs de spirales, une panse reticelli formée de baguettes et fils torsadés appliqués en escargot, et deux fragments à décor rubané, dont un à feuille d’or. À cette vaisselle polychrome s’ajoutent 14 fragments de verre moulé bleu clair opaque, teinte caractéristique des productions d’époque hellénistique (Demierre 2015, p. 173). Plusieurs de ces tessons s’apparenteraient à des grooved-bowls (Marty, Cornardeau 2017, p. 300). Ces bols et coupes monochromes, de production orientale (côte syro-palestinienne et monde grec) se caractérisent par des profils simples, coniques à hémisphériques, et des parois épaisses ornées de rainures internes. Moins d’une quarantaine d’individus a été recensée sur le territoire français, répartis sur une quinzaine de sites (Foy 2008, p. 11-13). De telles pièces se retrouvent essentiellement sur le littoral narbonnais et le long des grands axes fluviaux, notamment sur les grands oppida, comme à Corent (Auvergne) où plus d’une dizaine de fragments est attestée (Foy 2008, p. 11). Dans le Sud-Ouest, seule une panse de grooved-bowl, en verre incolorelégèrement vert-jaune, a été découverte sur le site de Coupéré (Saint-Bertrand-de-Comminges, Haute-Garonne), (Marty 2015, n° 1, fig. 364, p. 303).

Parallèlement, une première génération de bols et coupes moulés à décor côtelé apparaît. Comme les bols lisses, ces récipients en verre de teinte naturelle possèdent des parois épaisses ornées de rainures internes. Le relief des côtes est flou et peu saillant. Celles-ci sont irrégulières, espacées, courtes et obliques, souvent accompagnées de traces d’outils. Les premières séries de coupes côtelées sont peu remarquées en Gaule. Des exemplaires ont été identifiés sur plusieurs sites du Sud-Est de la France, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur, notamment sur l’épave de La Tradelière (Iles de Lérins), à Olbia en Provence (Hyères), sur le site des Aiguières (Fréjus), à Arles (Bouches-du-Rhône) et à Orange (Vaucluse) Feugère, Leyge 1989, fig. 5, p. 173 ; Fontaine 2003, n° 36, p. 254-255 ; Cottam, Price 2009, n°91-107, pl. 20, p. 254 ;  Foy 2010, n°59-60, p. 75 ;  Roussel-Ode 2014, p. 86 ; Foy et al. 2008, p. 11-13). Dans le Sud-Ouest, un exemplaire en verre jaunâtre a été mis au jour sur la ZAC Andromède à Blagnac (Haute-Garonne), dans un fossé daté entre 75 et 30 av. J.-C. (Marty, Cornardeau 2017, p. 300). Des coupes précoces sont également attestées dans les niveaux gaulois et augustéens d’un site d’habitat implanté sur les berges de l’Ariège à Auterive (Haute-Garonne ; Latour 2006, n°1 à 3, fig. 19, p. 58-59). Un exemplaire pourvu de deux épaisses rainures internes et présentant un enfoncement au niveau du bord a également été collecté, au cours d’une prospection pédestre, sur le site de En Solomiac à Palleville (Tarn) (fig. 3).

Fig. 3 : Coupe côtelée précoce. En Solomiac, Palleville (Tarn)
Copyright M. Brochot

Les verres linear-cut

La technique du verre moulé-pressé va se perfectionner et donner naissance, à partir du milieu du Ier s. av. J.-C., à des bols et coupes à paroi plus fine et rectiligne qui, bien que toujours décorées de rainures internes, sont de facture plus régulière (fig. 4). Cette nouvelle génération de récipients, nommés linear-cut, est plus largement diffusée en Gaule, où elle apparaît au dernier tiers du Ier s. av. J.-C. Il s’agit de la première série de verres ayant fait l’objet d’importations commerciales en Gaule. Les linear-cut ont un profil simple plus ou moins convexe ou hémisphérique, parfois caréné. Les récipients sont moulés à partir d’un disque de verre translucide de couleur vive (bleu foncé, ambre, ambre-brun, pourpre…) ou plus rarement incolore. Les bords, droits à légèrement évasés, sont arrondis au feu et parfois polis à froid. Les parois, dans le prolongement du bord, s’affinent rapidement et sont ornées de rainures internes horizontales et régulières.  Ces dernières sont généralement organisées comme suit : une rainure simple meulée en haut de panse, à environ un centimètre sous le bord, puis une double rainure placée à mi-panse. La face externe du vase est polie à la chaleur de manière à devenir brillante, alors que la face interne est polie à froid. Le fond, rarement conservé, est plat ou légèrement rentrant (Fontaine 2004, p. 5).

Fig. 4 : Bol linear-cut découvert à Montans (Tarn)
Copyright M. Brochot

Associés à la forme Is. 1-18/AR 3.2 et au Groupe 5 de D. F. Grose (Isings 1957, p. 36-37 ; Fünfschilling 2015, p. 266 ; Grose 1989, p. 244-247), ces vases sont datés des années 30 av. J.-C. à 30 apr. J.-C. Ils connaissent une diffusion très abondante en Orient, un atelier ayant notamment été identifié à Beyrouth (Foy 2005). La forme est également présente, dans une moindre mesure, en Occident, comme en Italie centrale et à Rome, où un centre de production pourrait avoir œuvré (Foy 2010, p. 66 ; Foy 2008, p. 9 ; Fontaine 2004, p. 6 ; Grose 2017, p. 69). En Gaule, plus d’une cinquantaine de sites ont livré de telles pièces. Il est avéré de longue date que les linear-cut sont bien représentés en Narbonnaise où plusieurs centaines d’exemplaires sont recensés, répartis essentiellement sur le littoral et plus généralement en Provence-Alpes-Côte d’Azur (Foy et al. 2008, p. 14). Plus des deux tiers du corpus provient de l’épave de La Tradelière datée des années 40 à 20 av. J.-C. où 200 à 300 individus sont recensés, ainsi que sur les sites des Aiguières et de l’Argentière à Fréjus où 500 pièces ont été comptabilisées dans des niveaux de la première moitié du Ier s. apr. J.-C. (Feugère, Leyge 1989 ; Price, Cottam 2007 ; Foy 2008, p. 14). Les linear-cut sont, par contre, beaucoup moins courants dans le reste de la Gaule où les attestations sont sporadiques. Hors de Narbonnaise, le site le plus riche est Lyon (Rhône), où L. Robin recense 48 exemplaires (Foy 2008, 13 ; Robin 2016, 193). L’essentiel des découvertes sont localisées sur la colline de Fourvière dans des contextes domestiques d’époque augustéenne (Robin 2016, p. 193).

Fig. 5 : Diffusion des linear-cut dans le Sud-Ouest
Copyright M. Brochot d’après Foy et al. 2008 et Foy 2010. Fond de carte IGN licence ouverte.

Si cette vaisselle précoce a déjà fait l’objet en 2008 d’un recensement à l’échelle du territoire français (Foy et al. 2008), une actualisation de la documentation à l’échelle du Sud-Ouest semble aujourd’hui nécessaire (fig. 5). D. Foy notait déjà, en 2010, que le territoire rutène se distinguait par un nombre relativement important de linear-cut (Foy 2010, p. 67). Cette tendance se confirme puisque l’inventaire mené sur les départements du Tarn et de l’Aveyron dans le cadre de notre thèse a permis de recenser près de 25 nouveaux individus, portant leur nombre à près de 40 exemplaires (Brochot, inédit). Les linear-cut se font, par contre, plus discrets dans le reste du Sud-Ouest. Ils sont attestés à Toulouse et à Saint-Bertrand-de-Comminges (Haute-Garonne ; Marty 2015, n° 2 fig. 364, p. 303) ainsi qu’à Saintes (Charente-Maritime ; Foy 2010, p. 67 ; Hochuli-Gysel 2003, n°17 et 18, fig. 3, p. 182). Des recensements ciblés, étendus à l’ensemble du Sud-Ouest, permettraient certainement d’étoffer ce corpus qui reste encore sous-évalué.

Après le début de notre ère, le perfectionnement du moulage, la diffusion du soufflage à la volée et l’implantation d’officines dans tout l’Occident vont profondément bouleverser l’artisanat du verre et sa consommation en Gaule. Si d’autres formes de verre, comme les verres mosaïqués, sont contemporaines des linear-cut, leur production de tradition italique perdure au-delà du premier tiers du Ier s. apr. J.-C. C’est pourquoi celles-ci ne sont pas évoquées dans cette notice.

Conclusion et perspectives

Les verres moulés tardo-hellénistiques et augustéens sont d’importants marqueurs chronologiques et socio-culturels. Ils se révèlent particulièrement intéressants puisqu’ils permettent de caractériser l’arrivée de la vaisselle en verre en Gaule. Si les vases mosaïqués les plus précoces et les grooved bowls restent rares dans le Sud-Ouest, les linear-cut sont mieux représentés. L’étude minutieuse des corpus du Sud-Est de la Gaule a démontré le rôle central du sillon rhodanien dans leur diffusion au-delà du littoral méditerranéen. Si le Sud-Ouest a longtemps été considéré comme peu concerné par le commerce de ces bols, le recensement mené chez les Rutènes montre que les axes fluviaux et terrestres du Sud-Ouest ont aussi été empruntés par cette vaisselle. Les zones de diffusion méritent ainsi d’être précisées sur l’ensemble du Sud-Ouest, afin d’avoir une vision globale de leur répartition à l’échelle régionale. Cela sera d’autant plus intéressant si nous parvenons à l’avenir à identifier plusieurs ateliers verriers, ayant œuvré à leur fabrication, et à individualiser leurs productions. Les circuits de diffusion pourraient ainsi être retracés dans leur intégralité, mettant en lumière la diversité de ces productions précoces.

BIBLIOGRAPHIE

Cottam S., Price J. 2009 : « The early roman vessel glass », in Brenchaloff D., Goudineau C. (dir.), Le Camp de la flotte d’Agrippa à Fréjus : les fouilles du quartier de Villeneuve (1979-1981), Paris, Editions Errance, p. 185-276.

Demierre M. 2015 : « Le petit mobilier des fouilles récentes de la ZAC Niel à Toulouse (Haute-Garonne). Chronologie, caractérisation des assemblages et contacts avec le monde méditerranéen », in Raux S., Bertrand I., Feugère M. (dir.), Actualité de la recherche sur les mobiliers non céramiques de l’Antiquité et du haut Moyen Âge, Actes de la table ronde européenne instrumentum, (Lyon, Rhône, 18-20 octobre 2012), Montagnac, Mergoil (coll. Monographies Instrumentum, 51), p. 157-180.

Feugère M. (éd.) 1989 : Le verre préromain en Europe occidentale, Montagnac, Monique Mergoil, 191 p.

Feugère M. 1989 : « Les vases en verre sur noyau d’argile en Méditerranée nord-occidentale », in Feugère M. (éd.), 1989, p. 29-62

Feugère M., Leyge F. 1989 : « La cargaison de verrerie augustéenne de l’épave de la Tradelière (Iles de Lérins) », in Feugère M. (éd.), 1989, p. 169-176.

Fontaine S.-D. 2003 : « Importations tardo-hellénistiques et augustéennes de verre moulé monochrome à Olbia de Provence (Hyères, Var) », Revue archéologique de Narbonnaise, n° 36, p. 249-257.

Foy D. 2005 : « Une production de bols moulés à Beyrouth à la fin de l’époque hellénistique et le commerce de ces verres en Méditerranée occidentale », Journal of Glass Studies, Vol. 47, p. 11-35.

Foy D. 2010 : Les verres antiques d’Arles. Catalogue des verres antiques du Musée départemental Arles antique, Paris,Editions Errance – Musée départemental Arles antiques, 525 p.

Foy D., Colombier A., Fontaine S., Marty M.-Th., Robin L., Roussel-Ode J. 2008 : « La distribution des bols moulés monochromes hellénistiques et augustéens sur le territoire français. État de la documentation », Bull. AFAV, p. 9-23.

Foy D., Colombier A., Dunyach I., Marty M.-Th., Roussel-Ode J. 2014 : « Attestations récentes de verres sur noyau d’argile en France », Bull. AFAV, p. 144-148.

Foy D., Nenna M. D. 2001 : Tout feu, Tout sable, mille ans de verre antique dans le sud-est de la France, Catalogue d’exposition, Musée d’Histoire, Marseille, 2001, Aix-en-Provence, Edisud-Musées de Marseille, 255 p.

Frère D., Dodinet E., Garnier N. 2012 : « L’étude interdisciplinaire des parfums anciens au prisme de l’archéologie, la chimie et la botanique : l’exemple de contenus de vases en verre sur noyau d’argile (Sardaigne, VIe-IVe siècle av. J.-C.) », ArcheoSciences, 36, p. 47-59.

Fünfschilling S. 2015 : Die römischen Gläser aus Augst und Kaiseraugst. Kommentierter Formenkatalog und ausgewählte Neufunde, 1981-2010 aus Augusta Raurica. Forschungen, Augst, vol. 51-2, 681 p.

Grand-Marty M.-Th. 1980 : La verrerie gallo-romaine chez les Rutènes, mémoire inédit de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales, Toulouse, 154 p.

Grose D. F. 1989 : The Toledo Museum of Glass : Early Ancient Glass. Core-formed, Rod-formed, Cast Vessels and Objects from the Late Bronze Age to the Early Roman Empire, 1600 BC to AD 50, New-York, Hudson Hill Press, The Toledo Museum of Art, 448 p.

Grose D. F. 2017 :« The Hellenistic, Roman, and Medieval Glass form Cosa », Ann Arbor, R. T. Scott, The University of Michigan Press, Memoirs of the American Academy in Rome, Supplément Vol. 12, 247 p., 37 pl.

Hochuli-Gysel A. 2003 : « L’Aquitaine : importations et productions au Ier siècle av. J.-C. et au Ier siècle ap. J.-C. », in Foy D., Nenna M.-D. (dir.), Echanges et commerce du verre dans le monde antique, Actes du colloque de l’AFAV, Aix-en-Provence – Marseille 2001, Monique Mergoil (coll. Monographies Instrumentum, 45), p. 177-194.

Isings C. 1957 : Roman Glass from Dated Finds,Groningen-Djakarta, J. B. Wolters (coll. Archaeologica Traiectina, 2), 185 p.

Latour L. 2006 : « Les fouilles gallo-romaines d’Auterive (Haute-Garonne). Étude des couches les plus récentes », Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, 66, p. 41-63.

Marty M.-T. 2015 : « Le verre dans les édifices de Coupéré », in Sablayrolles R., Fincker M., Maraval M.-L., Marty M.-T. (dir.), Saint-Bertrand-de-Comminges. V. Campus puis villa suburbana. Évolution d’un quartier périphérique de la capitale convène. Études d’Archéologie urbaine, Fédération Aquitania, p. 299-359.

Marty M.-T., Cornardeau S. 2017 : « Des Tectosages aux Mérovingiens, l’omniprésence du verre », in Provost M., Pailler J.-M. (dir.), CAG Toulouse, 31/3, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, p. 299-315.

Petriani A. 2003 : Il Vasellame a matrice della prima età imperiale, Collezione Gorga, Vetri I, Florence, Edizioni All’Insegna del Giglio, 132 p.

Robin L. 2016 : Le verre à Lyon, Production et consommation durant le Haut-Empire (Lugdunum), Autun, Mergoil (coll. Monographies Instrumentum, 53), 554 p.

Roussel-Ode J. 2014 : Le verre dans les chefs-lieux de cités de la moyenne vallée du Rhône, Montagnac, Mergoil (coll. Monographies Instrumentum, 49), 535 p.

Vous aimerez aussi...